DE L'APOGEE AU DECLIN | ||||||
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DES DEBUTS MODESTES Cette manifestation, qui rassemblait les participants par milliers, eut des débuts modestes bien qu’elle fût placée sous le patronage de héros illustres, Pélops, Héraclès, censés avoir montré aux humains le chemin du stade et de l’hippodrome. |
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LES PREMICES DU RAYONNEMENT Le commencement de son rayonnement
panhellénique
date du moment où Sparte y délègue ses champions
(732 av. J.C.). Cette réputation entraîne
le sanctuaire dans les remous des conflits internationaux. |
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UN APOGEE DE COURTE DUREE Cette longue paix, après avoir permis aux Jeux d’atteindre leur apogée à l’époque où Pindare célébrait en vers immortels la gloire des vainqueurs, voit s’amorcer une lente décadence, due à de multiples causes. |
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LE TEMPS DE LA DECADENCE
La ferveur qu’inspirait un idéal
emprunté à la société aristocratique se refroidit
à mesure que les progrès de la démocratie font naître
un nouveau type d’homme.
Le développement du sport
professionnel ravale les compétitions au niveau d’un spectacle.
La conquête d’Alexandre déplace
vers l’Orient le centre de gravité du monde hellénique.
Manifestation éminente de l’hellénisme, les Jeux finissent par s’ouvrir à des concurrents barbares qui en trahissent l’esprit, même s’ils se croient sincèrement assimilés.
Enfin, les Romains, après
la conquête, tinrent longtemps en suspicion des pratiques qu’ils
ne comprenaient pas, où ils craignaient une manifestation politique,
et ils n’épargnèrent pas les pillages au sanctuaire.
Le dernier coup vient du christianisme
qui combat le principe même de l’athlétisme. |
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