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CHAPITRE 3 | ||
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LES DIFFICILES DEBUTS DE LA IIIe REPUBLIQUE | ||
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1 | UNE TROISIEME REPUBLIQUE |
A l'Assemblée, les royalistes se divisent en deux tendances
: - les orléanistes, partisans du comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe ; - les légitimistes, partisans du comte de Chambord, petit-fils de Charles X. Ils ne parviennent pas à se mettre d'accord sur le choix du roi. De leur division naît l'impossible retour de la monarchie en France. |
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En 1875, une partie des orléanistes décide alors de voter avec les républicains les lois constitutionnelles qui fondent la IIIe République. | ||
Après 1875, les républicains, menés par Gambetta
et Ferry, emportent les élections
à l'Assemblée et au Sénat. Les Chambres reviennent à Paris, le 14
juillet devient la fête nationale et la Marseillaise
l'hymne national. La Chambre des députés devient la principale assemblée. |
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Qui sont les exclus du suffrage universel direct
? |
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2 | LES GRANDES LOIS DE LA REPUBLIQUE |
1881 | 1882 | 1884 | 1905 | |
Liberté | rétablissement de la liberté de presse et de réunion | les conseils municipaux ont de nouveaux le droit d'élire les maires | Autorisation des syndicats. |
Séparation des Eglises et de l'Etat. |
Scolarité Sous l'initiative de Jules Ferry : |
L'école primaire devient gratuite | obligatoire et laïque pour tous les enfants de 6 à 13 ans. |
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